Olga Kurylenko à la nuit des César.
Il fait un sale temps sur Nice depuis plusieurs jours. Côté température, ce n’est pas si mal, même si ça pourrait être mieux, le mercure tournant autour des 15 degrés. Mais on ne reconnaît pas la Côte d’Azur avec tous ces nuages et toute cette pluie. Aussi avons-nous un peu délaissé la promenade des Anglais au profit des salles obscures. Le choix de films est considérable et pourtant, la récolte n’a pas été terrible.
Commençons par «À la merveille». «C’est beau, long, et terriblement ennuyeux», conclut Le Parisien. On ne saurait mieux décrire le dernier Terrence Malick. Beau, c’est incontestable. Ce gars-là sait filmer, c’est sûr. Mais le charme n’opère pas. Malgré la beauté des images, malgré l’originalité de la mise en scène, difficile d’échapper à la tentation de regarder sa montre. Et on finit par s’ennuyer ferme. (suite…)