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Archives de octobre, 2011

Les valises sont prêtes

Ci-dessus, Lise au bois de Boulogne en compagnie de notre amie Catherine. Ci-dessous, Paul devant les Invalides et Lise à la Défense.

Nous avons presque fini de remplir nos valises. Le temps de rentrer chez nous est venu. Ce n’est pas que nous soyons pressés d’entendre parler pour la millième fois des scandales de la construction, des bouchons de Montréal, du maire Vaillancourt ou du pont Champlain. Nous serions volontiers restés à Paris encore quelque temps, car nous sommes heureux dans notre peau de voyageurs. Et, il faut bien le dire, il y a pire destin que de vivre dans la Ville lumière.

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Voyageur au bord de la crise de nerfs

Lise et moi avions beaucoup aimé Paris en 1980, quand nous y sommes venus ensemble pour la première fois. Nous nous étions promis d’y revenir souvent, mais le temps nous a joué des tours. Cette fois, il ne faudra pas attendre 31 ans, car un déambulateur ne suffirait pas ; nous serions en fauteuil roulant. Et ma foi, je nous vois mal traverser les rues de cette façon. Déjà qu’il faut une certaine agilité pour éviter les motos.

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Paris au-delà de la carte postale

Jean-Michel et Lise à l’université Paris Diderot.

J’ai beaucoup aimé Midnight in Paris. Woody Allen nous y promène dans les plus beaux coins de cette ville très belle. Mais si, lors d’un voyage dans la Ville lumière, vous n’avez vu que ce que nous montre Woody, vous n’aurez traversé que le Paris des cartes postales.

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Dans un bistro parisien

Nous nous étions promis d’aller au théâtre au moins une fois à Paris. Nous avons fini par choisir notre pièce : Collaboration, avec Michel Aumont, au Théâtre des Variétés. Nous avons beaucoup aimé, au point de nous réconcilier avec le théâtre, que nous boudons depuis de nombreuses années.

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Moquerie et esprit critique

Lise au Jardin des plantes.

Il y a des gens qui lisent ce blogue de voyage depuis quelques années et qui, pourtant, pensent que je m’emmerde à Paris. Mais non, voyons ! Il faut toujours avoir à l’esprit que les mamelles de mes carnets sont la moquerie à l’italienne et l’esprit critique à la française. Je ne verrai jamais les choses comme le chroniqueur culturel de Radio-Canada, par exemple, ce cher Claude Deschênes, qui adore tout. Lui, il est capable de se pâmer pour des navets ; moi, je critique la « plus belle ville au monde ». Faut croire qu’on n’est pas fait de la même étoffe.

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